PARCOURS

FORMES ÉVANESCENTES, FRAGILES, CASSANTES OU ENCORE FÉMININES...
LE PEINTRE RENÉ TRAVERE A ATTENDU QUINZE ANS AVANT DE SE TROUVER. DE L’HYPERRÉALISME, IL EST ENTRE DANS UNE CONCEPTION PICTURALE ORIGINALE - IL Y A TROUVÉ SA VOIE. SON STYLE, IL LE RESSENT AU PLUS PROFOND DE SON ÂME BRETONNE. DÉCOUVERTE.



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QUEL A ÉTÉ VOTRE PARCOURS ?
La vie sociale m’a poussé à suivre des études. Simultanément, mes désirs personnels m’ont poussé vers les Beaux-arts. A l’époque j'y participais en auditeur libre me permettant même l'accès aux ateliers. Ainsi j’ai pu effectuer les deux cursus.
Aux Beaux Arts de Rennes j'ai bénéficié des cours du génial Xavier de LANGLAIS, qui m'a soutenu et apporté les meilleures techniques.

QU’AVEZ-VOUS FAIT À LA FIN DE VOS ÉTUDES ?
Je dois gagner ma vie. J’entre dans une entreprise à Paris. Parallèlement, je continue à peindre dans une pièce dédiée, dans mon appartement

VOTRE PARCOURS...
Jusqu’en 1981, je peins beaucoup de portraits. C'est intéressant mais très académique, bien que profitable techniquement. La construction était agréable, j’arrivais à quelque chose de satisfaisant. Toutefois cette voie ne pouvait me contenter.

DANS LES PORTRAITS RIEN NE VENAIT DE VOUS ?
Exactement, avec toutefois une certaine manière. Mais en 1980, j’ai abandonné le Sujet, avec l’originalité qui me concerne aujourd'hui. J'ai ainsi abordé une perception nouvelle de mon travail. Mes anciennes manières picturales disparaissaient subitement, je m’affiliais à une nouvelle pratique sans pour autant m’y ressentir étranger et que je conserve encore aujourd'hui.